Le manque, l’invisible, l’absence, qui fait que la question respire, s’élève au-dessus des fumées des camps de la mort, des centaines de camps, est peut-être l’opacité qu’elle recèle avec un mouvement en train de s’établir avec l’irréductible… L’écriture de Jabès se caractérise par la mise en question qu’elle fait d’elle-même.