Traduire un poème, c'est peut-être choisir parmi les tissus de quoi le transporter ailleurs
Traduire la poésie est pour la plupart impossible, une hérésie, un « mot à mot » absurde. Mais pourquoi en refuser l’accès aux lecteurs gourmands ? Le public de la poésie n’est pas si abondant et le propos impose précisément ici que ces poèmes s’ouvrent aux autres rives.
1) La valeur de la traduction comme terrain d’expérimentation et espace de réflexion pour l’écriture
2) Analyses critiques et comparatives portant sur la façon de traduire des poètes
3) d’après un poème de Mandelstam, trouvons la joie de créer un poème contemporain : une expérience pour s’imprégner de la noue originale et pour comprendre les points de départ possibles du processus de création dans notre langue
4) Il arrive qu’on puisse confier un poème simple à quelqu’un pour qui ce sera plus aisé de nous l’offrir dans sa propre langue