Cela se passe entre les enfants qui apprennent à parler, les poussins de la ferme que l’on rassemble pour les nourrir, et les appareils ménager, les machines à coudre de nos mères et grands-mères qui ont veillé au grain. Aujourd’hui ce retour au foyer n’est pas envisageable. Pourtant on nous y contraints et notre liberté dépend des petites musiques qui s’éveilleront encore de l’intérieur.